Initié au Kick boxing et au Judo dans l’enfance, son père lui fait découvrir le Taiji
            Quan et le QiGong à l’adolescence. A l’âge de 16 ans il rencontre le Kung Fu Shaolin
             auprès du maître vietnamien Huynh Chieu Long, et tombe immédiatement
                    amoureux de cet art martial. Après cinq ans auprès du maître Long, il reçoit
                    l’enseignement de Michaël Nelson, de l’école Wu à Aubagne. Il ajoute à cela l’étude plus
                    sérieuse du Taiji Quan et du QiGong.

               Après une année à l’école du Tigre Blanc de Grasse et une autre au Kajyn à Paris, il
         trouvera l’enseignement de Victor Marques, président de l’école YMAA Paris, disciple de Maître
               Yang Jwing Ming. Il reçoit son enseignement pendant trois ans, en Kung Fu Shaolin, en 
          Taiji quan et le Kung Fu.

Aujourd’hui, il est installé dans la haute vallée de l’Aude et continue d’enrichir sa pratique en
alimentant de stages en France et à l'étranger, de formations en ligne, et de temps d'échange
avec les pratiquant-es et enseignant-es locaux-ales. Il enseigne le Taiji Quan, le QiGong et le
Kung Fu au Dojo d'Espéraza depuis 2020.

En 2022, il est diplômé du Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) en arts énergétiques
chinois auprès de la Fédération Française des Arts Energétiques et Martiaux Chinois (FFAEMC).

Jules s'exprime:
" Les arts martiaux ont été pour moi une rencontre avec mon corps, me permettant de l'incarner
joyeusement, le discipliner, et lui faire accepter le contact avec les autres. Parallèlement, avec  le
GiGong et la méditation, j'ai rencontré mes sensations, émotions, pensées, et enfin mon Qi, après de
nombreuses années de recherche.
Le Taiji Quan est la rencontre de tous ces aspects. En trouvant la paix et la décontraction, au
coeur de la confrontation, on peut générer la puissance interne sans compromettre l'harmonie
ying-yang, mais bien en la rétablissant. Le Taiji est le chef d'oeuvre d'un immortel taoïste qui en
fait cadeau au monde, pour que Dao puisse être non pas imaginé ou intellectualisé, mais inscrit dans
le corps et l'esprit à force de pratique. "

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